
Oui aux allocations familiales dès le premier enfant : une avancée pour la justice sociale
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 06/06/2025 Interventions en séance J’ai
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 06/06/2025 Interventions en séance J’ai
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 03/06/2025 Interventions en commission Lors
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 02/06/2025 Travail législatif L’Assemblée nationale
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 14/05/2025 Travail législatif Victoire !
Jérôme Guedj Votre Député Massy – Palaiseau – Chilly-Mazarin – Morangis – Igny – Wissous 06/05/2025 Travail législatif La semaine
15/11/2024 Mobilisations Cette semaine, j’ai organisé à l’Assemblée nationale un colloque sur les maladies nutritionnelles (l’obésité, le diabète et la
08/11/2024 Travail législatif Mardi soir a marqué la fin de l’examen à l’Assemblée nationale du projet de loi de financement
Les débats en séance publique sur le projet de loi sur la fin de vie issu de la commission spéciale ont débuté lundi 27 mai, dans un hémicycle conscient de la responsabilité qui lui incombe de légiférer sur un tel sujet.
La représentation nationale dispose de deux semaines pour examiner les plus de 3000 amendements déposés et, après une semaine de débats, Jérôme Guedj et les députés socialistes ont pu faire adopter un certain nombre d’amendements, souvent contre l’avis du gouvernement.
Sous l’impulsion de Jérôme Guedj, plusieurs avancées ont donc déjà pu être votées par les députés :
– La présence obligatoire d’un référent en charge de coordonner l’accès aux soins palliatifs et d’accompagnement dans chaque service hospitalier.
– La création d’un droit opposable à l’accès aux soins palliatifs sur l’ensemble du territoire.
– La création d’un droit opposable à l’accès à l’aide à mourir pour toute personne malade dont l’état le requiert, en lieu et place d’une simple permission.
– L’ajout, en matière d’accompagnement des aidants et des proches, de la mention explicite d’un accompagnement émotionnel et psychologique même au-delà du décès de la personne concernée.
– La création d’une loi de programmation pluriannuelle des soins palliatifs à partir du 31 décembre 2025 puis tous les cinq ans, en accord avec les recommandations récentes de la Cour des Comptes.
Ces avancées, portées par Jérôme Guedj et le groupe des Socialistes et apparentés, suivent toujours la même logique : partir des besoins réels de nos concitoyens, garantir un accompagnement pérenne, digne et généralisé des personnes concernées et des aidants et permettre l’accès effectif du plus grand nombre aux soins palliatifs.
Le gouvernement, opposé à une grande majorité de ces amendements, a dû se plier, à chaque reprise, à la volonté souveraine d’une majorité des députés.
Malheureusement, comme l’a bien montré l’aveu coupable de la ministre Catherine Vautrin au sujet de son mensonge sur la saisine du Conseil d’État sur une loi de programmation du grand âge, il faudra s’assurer que ces victoires parlementaires soient suivies d’actions et d’une mise en œuvre concrète à venir.
Les débats se poursuivront à partir du lundi 3 juin, et Jérôme Guedj et les députés Socialistes et apparentés continueront à porter leurs voix pour défendre le principe d’un choix libre, encadré, ouvrant un nouveau droit pour nos concitoyens.
L’historien néo-calédonien Louis-José Barbançon a écrit, au sujet des relations entre loyalistes et indépendantistes sur son île : « en Nouvelle-Calédonie […] la seule réponse possible au oui et au non, c’est le nous ». La violence et des évènements tragiques dont chacun est témoin en Nouvelle-Calédonie depuis plusieurs jours soulignent avec force et sérieux à quel point cette citation est d’actualité.
C’est pourquoi, lors d’une intervention à la tribune de l’Assemblée nationale portant sur la proposition de loi constitutionnelle du gouvernement sur le corps électoral du Caillou, Jérôme Guedj a tenu à conclure son propos en se servant de cette citation.
Car ce qui se joue à 17.000 kilomètres du territoire métropolitain est d’une gravité absolue.
Et c’est le projet de loi du gouvernement, qui vise à permettre une modification du corps électoral pour l’élection du congrès et des assemblées de province de Nouvelle-Calédonie, qui a mis le feu aux poudres. Car, instituer au forceps l’élargissement de la liste aux électeurs qui sont nées sur le territoire calédonien ou qui y sont domiciliées depuis 10 ans, en dehors de tout accord préalable des différentes parties prenantes, est contraire à la position historique de la France ainsi qu’à l’esprit des accords de Matignon de 1988, comme de Nouméa en 1998.
Afin de garantir le retour de la paix civile et mettre fin aux violences insupportables qui surviennent en Nouvelle-Calédonie, il faut que le gouvernement revienne au dialogue et au consensus pour construire un destin commun avec l’ensemble des habitants de Nouvelle-Calédonie. Pour cela, il faut donc qu’il suspende son texte afin de donner le temps au temps et de parvenir à un accord global qui dessinera les contours du futur institutionnel de ce territoire singulier de notre République.
Alors que l’examen du projet de loi sur la fin de vie battra son plein à la fin du mois de mai,
Jérôme Guedj vous invite à une réunion publique sur le sujet, le 22 mai prochain à 20h, à la Petite Scène de l’espace Salvador Allende, à Palaiseau.
Jérôme Guedj est investi de longue date sur ce sujet qui touche, tôt ou tard, chacun et chacune. Membre du groupe d’études de l’Assemblée nationale sur la fin de vie puis désigné par son groupe politique comme l’un des quatre représentants socialistes au sein de la commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi, il souhaite associer les habitants de la circonscription à son travail législatif.
Vous êtes donc toutes et tous cordialement invités, mercredi 22 mai à 20h, à débattre aux côtés de Françoise Ellien, présidente de l’association nationale Jeunes Aidants Ensemble (JADE) et directrice de l’Association SPES et du Dr. Anne Vivien, vice-présidente de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD).
Ce sera l’occasion pour toutes les personnes intéressées de venir échanger sur ce sujet crucial : quel encadrement législatif pour la fin de vie dans notre pays ?
Vous pouvez vous inscrire facilement sur ce lien ou en signalant votre intérêt par mail sur l’adresse jerome.guedj@assemblee-nationale.fr.
Au plaisir de vous accueillir nombreuses et nombreux le 22 mai !