Colloque à l’Assemblée nationale : lutte contre les maladies nutritionnelles
15/11/2024 Mobilisations Cette semaine, j’ai organisé à l’Assemblée nationale un colloque sur les maladies nutritionnelles (l’obésité, le diabète et la
15/11/2024 Mobilisations Cette semaine, j’ai organisé à l’Assemblée nationale un colloque sur les maladies nutritionnelles (l’obésité, le diabète et la
Le jeudi 23 mai, Jérôme Guedj s’est rendu à la SantExpo tenue par la Fédération Hospitalière de France.
Le projet de loi relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie débute en séance publique
23/05/2024 En circonscription Alors que l’examen du projet de loi sur la fin de vie débute le 27 mai à
Ce mardi 2 avril, dans le cadre de la semaine de contrôle, Jérôme Guedj est intervenu sur le sujet de la prévention en santé.
Aujourd’hui, à aucun moment, le législateur n’est saisi de la centralité des politiques de prévention dans l’ensemble des politiques de santé.
Le PLFSS ne remplit pas cette mission. Les députés en sont réduits à examiner les outils proposés par le Gouvernement : c’est par exemple la stratégie nationale de prévention. Mais elle est déployée dans tellement de plans qu’on ne sait plus comment les appréhender de manière globale.
Remettons le Parlement au coeur de notre politique de santé !
Ayons une loi de programmation en santé avec des indicateurs de prévention.
Ayons des débats sur la politique de prévention et de lutte contre l’obésité.
Ayons des débats sur le Nutriscore.
Parlons des enjeux de la dénutrition.
Parlons de l’activité physique adaptée.
À quand ce débat sur les objectifs de prévention ?
Avec mon collègue Elie Califer, député de Guadeloupe, nous défendons aujourd’hui une proposition de loi visant à reconnaître la responsabilité de l’État et à indemniser les victimes du chlordécone.
Il est crucial que la République reconnaisse sa responsabilité. Il y a eu une protection sanitaire à deux vitesses parce que le sujet était ultramarin.
Il faut également en tirer les conséquences : dépollution et indemnisation des victimes.
C’est une question de justice sociale et environnementale !
Le 17 janvier, à l’occasion d’un débat sur l’état de la psychiatrie en France, Jérôme Guedj a interrogé la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités sur la situation spécifique des professionnels de santé mentale dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville.
Plus largement, la psychologie, la pédopsychiatrie et la santé mentale au sens large sont des secteurs sinistrés. La réponse du gouvernement ne peut pas être celle de la résignation générale et de la souffrance et des parcours du combattant pour les familles et les patients.
La fragilisation constante des centres médico-psychologiques, des centres d’aide thérapeutique à temps partiel, des hôpitaux de jour et de toute la psychiatrie de secteur n’est pas une fatalité, a fortiori quand on dispose d’un périmètre d’action aussi étendu que cette nouvelle ministre.
Jérôme Guedj continuera de se mobiliser pour une vraie politique de santé mentale, particulièrement pour celles et ceux qui en ont le plus besoin.