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Fin de vie : garantir le choix, sans renoncer à l’accompagnement

À l’Assemblée nationale, je poursuis mon engagement au sein de la commission des affaires sociales sur un sujet aussi sensible qu’essentiel : celui de la fin de vie. Alors que nous examinons deux textes – l’un sur les soins palliatifs, l’autre sur l’aide à mourir – je veille à ce que la loi reste à la hauteur de ce qu’exige la dignité humaine.

Je suis favorable à la reconnaissance de l’aide à mourir, pour celles et ceux qui, malgré tout, vivent une souffrance devenue insupportable, avec un pronostic vital engagé et une pathologie en phase terminale ou avancée. Mais ce droit ne peut – et ne doit jamais – remplacer un accompagnement réel, digne, humain, pour les aînés, nos proches en fin de vie, nos concitoyens les plus vulnérables.

C’est là toute la difficulté du débat : comment garantir un accès effectif à l’aide à mourir, sans que cela n’affaiblisse notre obligation collective à accompagner chacun, jusqu’au bout, quelle que soit sa situation ? 

Je continuerai de porter cette ligne dans le débat parlementaire : une loi de liberté. Une loi qui rende possible un choix, mais qui n’oublie personne.

Retrouvez mon intervention en commission des affaires sociales face à Catherine Vautrin, ministre de la Santé et des Solidarités :