Violences du 1er mai : je ne céderai ni à l’intimidation, ni au renoncement – mon interview sur BFMTV​

Le 1er mai, lors du traditionnel cortège syndical et politique, j’ai été — avec mes camarades socialistes — pris à partie, violemment invectivé, insulté, agressé. Sur BFMTV, le soir-même, j’ai tenu à revenir sur ces faits avec gravité mais sans renoncer à l’essentiel : le besoin de préserver un débat public digne, respectueux et démocratique.

J’ai dénoncé cette violence, physique et verbale, qui blesse et atteint — personnellement, humainement, politiquement.

Ces violences sont insupportables. Elles m’ont profondément heurté, et elles me mettent en colère, car elles détournent le sens même du 1er mai — journée de solidarité, de lutte sociale et de revendication pour les droits des travailleurs.

Je continuerai à porter mes engagements sans céder à la peur, mais je le redis avec force : il est temps de redonner à la politique sa part d’échange et de respect. Le désaccord ne doit jamais conduire à la violence.

L’intégralité de l’interview est à retrouver ci-dessous :