

8 Mai : porter la mémoire, même à des milliers de kilomètres.
- 09/05/2025
Depuis Israël et la Cisjordanie où je suis en déplacement parlementaire, je veux saluer les commémorations du 8 Mai.
80 ans après la guerre totale, c’est toujours une nécessité de porter la mémoire des combattants et des civils, d’honorer le souvenir des exterminations de masse (juifs, tsiganes, opposants…). Et de croire en la paix, celle qui menacée en Europe, repose sur la force du couple franco-allemand, hier ennemis.
C’est cette espérance qui m’accompagne ici. Je reviendrai plus longuement sur ce déplacement en Israël et en Palestine, riche de rencontres comme aujourd’hui à Hebron et à Ramallah, avec des militants et responsables palestiniens, activistes de la paix, issus de la société civile. Avant le sommet It’s Time (peace summit) demain à Jérusalem qui réunit des dizaines d’ONG engagés dans la recherche d’un chemin, par le dialogue.
Je reviens un instant sur le 8 Mai pour remercier les compagnons, citoyens, élus, militants qui ont participé aux cérémonies. Et particulièrement celles et ceux qui ont déposé en mon nom la gerbe du député , à Massy, Palaiseau, Igny et Chilly-Mazarin.
J’ai hélas appris avec consternation qu’à Wissous et Morangis, les maires n’ont pas permis que ma gerbe puisse être déposée lors de la cérémonie officielle, contrairement aux 4 autres villes , et je veux remercier les maires de Massy, Palaiseau, Igny et Chilly-Mazarin pour leur attitude exemplaire.
Mes deux gerbes ostracisées ont quand même pu être déposées juste après la cérémonie, bravant la mesquinerie si peu républicaine en pareille journée.



